Tout le monde connait un "Jean-Robert". (Si vous n'en connaissez pas, j'en ai quelques-uns en stock !)
Jean-Robert veut avoir le dernier mot.
Pas pour avancer. Pas pour échanger.
Mais pour imposer sa vision des choses souvent archaïque, sexiste, moqueuse, méprisante.
Et surtout : pour gagner.
Et quand il s'agit de votre boss, votre père, votre médecin ou de votre manager, on a un problème à résoudre. (Ou un défi à relever).
Jean-Robert ne débat pas.
Il assène.
Il classifie.
Il simplifie à coups de clichés.
Il attaque avec l’assurance de celui qui a le pouvoir, de celui "qui sait".
(Ça commence à vous rappeler quelqu'un ?)

Et il le fait avec des phrases qu’il a probablement prononcées mille fois, sans jamais remettre leur sens en question :
👉 "C’est pas un boulot pour une femme. Vous n'avez pas les épaules. On va demander à Philippe, plutôt."
👉 "On peut plus rien dire, c'est affligeant ! J'espère que vous, vous avez de l'humour !"
👉 "Vous n'y connaissez rien, encore une qui a lu Doctissimo avant de venir."
👉 "De toute façon, les jeunes ne veulent plus bosser. Je n'embauche donc pas de jeunes"
👉 "Hors de question que tu fasses des études d'ingénieur, c'est pas pour les filles !"
👉 "Ma pauvre fille, ouvre un peu les yeux, ce n'est pas comme ça que tu vas rencontrer un homme bien !"
👉 "Moi, vivant, dans mon établissement, jamais on ne parlera de ce truc à la mode d'études de genre !"
Mais, pas de chance, vous, en face, vous avez besoin de lui :
De sa signature.
De son accord.
De sa validation.
Du salaire à la fin du mois...
Et là, vous vous figez.
Votre cerveau bugue.
Vous sentez que c’est injuste, erroné, humiliant.
Mais aucune phrase ne vient.
👉 C’est l’effet de sidération.
C’est une réponse biologique à une agression verbale bien réelle.
Pourquoi c’est si difficile de répondre ?
Parce qu'on est coincé·e entre deux feux. Que le contexte nous oblige à une certaine soumission. Qu'on ne veut pas perdre notre job, la relation, ni recevoir un commentaire qui nous mettra KO.
On voudrait expliquer, argumenter, prouver.
Mais face à quelqu’un qui ne veut pas comprendre, vous gaspillez de l’énergie.
Jean-Robert ne veut pas d’arguments, il veut conserver une position dominante.
Et c’est pour cela que la répartie n’est pas un art de convaincre.
C’est un art de déjouer les rapports de force.
Dans la méthode Takattak, on apprend à répondre sans perdre pied.
Vous y découvrez comment :
✔️ Sortir de la sidération, avec des réponses prêtes à l’emploi.
✔️ Ne pas tomber dans le piège de l’argumentation rationnelle face à un discours verrouillé.
✔️ Utiliser les armes de l’émotion, de la surprise, de l’effet-miroir — exactement comme Jean-Robert, mais avec finesse.
✔️ Impliquer subtilement les témoins mous, pour qu’ils ne restent plus complices silencieux.
Entrez dans la tête de Jean-Robert.
Chez vous. Tranquillement. Pas devant lui, hein !
Mais juste assez longtemps pour voir à quel point c’est simple, fluide, presque automatique de sortir une énormité :
“De toute façon, les femmes sont trop émotives pour ce genre de poste.”
“Encore une qui veut sauver le monde avec ses petites idées.”
“On va pas recruter quelqu’un de 50 ans, ça manque de souplesse.”
👉 Observez à quel point c’est pauvre, creux, et pourtant TRÈS efficace.
Parce que Jean-Robert tape là où ça fait mal : dans le stéréotype, le raccourci, le mépris.
Et c’est là que vous comprenez :
👉 Répondre, ce n’est pas contre-argumenter.
C’est travailler sur l’effet, pas sur la logique.
C’est frapper juste, pas fort.
🧪 Cet exercice redoutable (et toujours très drôle), vous l’explorez en profondeur dans la formation Esprit de répartie — Méthode Takattak.
Vous y découvrirez par exemple :
- Comment réagir quand Jean-Robert vous coupe en réunion.
- Comment le recadrer quand il vous fait un faux compliment passif-agressif.
- Comment impliquer subtilement les témoins mous, pour qu’ils cessent d’être muets face à tous les Jean-Robert.
"Esprit de répartie – La Méthode Takattak"
Ce n’est pas une formation pour "rentrer dans le lard".
C’est une formation pour redevenir légitime.
Pour prendre la parole quand c’est nécessaire.
Et pour ne plus jamais laisser un Jean-Robert vous voler votre voix.
Une formation comme une série Netflix
Parce qu’apprendre la répartie doit être aussi captivant qu’une bonne série, j’ai conçu la formation en 4 saisons :
📺 Saison 1 - La base : pourquoi la répartie n'est pas un luxe mais une nécessité absolue
📺 Saison 2 - Les fondations : les 5 piliers de la répartie
📺 Saison 3 - Les techniques : les ripostes qui font mouche
📺 Saison 4 - La maitrise : devenir stratège et transmettre l'art de la répartie
Et comme dans toute bonne série, vous ne regarderez pas seul·e :
✨ 1h de coaching de groupe en visio chaque mois, pour s’entrainer en direct et poser vos questions.
✨ De nombreux exercices et mises en situation, pour progresser pas à pas.
✨ Une liste de ripostes prêtes à l’emploi, pour ne plus jamais rester sans voix.
✨ Une méthode spécifique pour vos enfants/adolescents, afin qu’ils développent eux aussi cette compétence clé.
Imaginez…
- Vous osez répondre sur le moment, sans rester figé·e.
- Vous retrouvez une estime de vous solide.
- Vous transmettez cette force à vos enfants, élèves ou patients.
- Vous marchez dans la vie avec la sérénité de savoir que plus jamais vous ne laisserez passer ça.
Pourquoi agir maintenant ?
Parce que chaque jour sans répondre est un jour où vous subissez encore.
Et chaque jour avec une bonne méthode est un pas de plus vers votre liberté retrouvée.
Ne laissez plus vos silences parler à votre place.
La répartie, c'est accessible à tout le monde.
Même si on pense que certains l'ont et d'autres pas.
C’est pour ça que j’ai créé la formation en ligne :
Esprit de répartie - La méthode Takattak

🎯 Une méthode claire, simple, efficace
🎯 15 ans d’expérience condensés dans un format accessible
🎯 Pour que vous développiez, vous aussi, ce réflexe de répartie
🎯 Et que vous ne restiez plus jamais sans voix
Le lien est juste en-dessous. Prenez 3 minutes pour y jeter un œil.
Vous pourriez bien y trouver le déclic qui change tout.
👉 Découvrez la méthode Takattak dès aujourd’hui et tournez la page du « j’aurais dû répondre ».